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Quand BB dansait à Rennes en 1951...

Irène Chevalier, professeur de l'école de danse de Rennes pendant 40 ans, a fait danser Brigitte Bardot en 1951. Elle se souvient et raconte.

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Brigitte Bardot prend la pose, ici dans le parc du Thabor. : Archives. Henri Terrière

L'histoire

« À cette époque, on ne l'appelait pas encore BB, son surnom est venu plus tard », se souvient Irène Chevalier.

En 1951, celle qui allait devenir le sex-symbol de toute une génération, et dont on célèbre aujourd'hui les 75 ans, avait tout juste 17 ans. C'est la danse qui l'a menée à Rennes : « À l'époque, je faisais venir des chorégraphes à l'école de danse. C'est Christian Foye, grand chorégraphe, décédé aujourd'hui, qui m'a dit : tu sais, je peux revenir avec une belle fille qui danse. Ça m'a intéressée car on essayait de ramener du sang neuf dans les spectacles ».

Brigitte Barbot !
Le sang neuf, c'était Brigitte Bardot qui était alors au Conservatoire de Paris. « Elle était déjà prise par la mode, mais elle n'était pas plus connue que cela ». Pour preuve, sur l'affiche présentant le spectacle, il est inscrit « Semaine de la danse 1951, avec le concours de Brigitte Barbot ». La faute fut corrigée à grand coup de stylo mais l'erreur restait flagrante. « On lui disait : Brigitte, tu barbotes » sourit Irène Chevalier.

Brigitte se révèle être une excellente danseuse mais pour la professeur de danse, il manquait quelque chose : « On ne sentait pas la grande étoile, elle n'était pas très accrochée par la danse. C'est véridique puisqu'elle a été embarquée par le théâtre et les films peu de temps après. »

« À Rennes, entourée de garçons »

La petite troupe allait déjeuner à la Chope, un restaurant très prisé des artistes à l'époque qui se trouve toujours rue de la Chalotais, près de la place de Bretagne. Irène y retourne toujours de temps à autre : « vous devriez mettre un panneau en indiquant que BB s'est assise ici », a-t-elle dit au serveur la dernière fois qu'elle s'y est rendue.

Cette année-là, elle passait inaperçue mais pas pour tout le monde : « dès qu'elle a mis le pied à Rennes, elle a été entourée de garçons » se rappelle Irène Chevalier.

Depuis, les deux femmes ne se sont jamais revues. C'était le temps d'une semaine, en 1951...

Marion ABLAIN.
Ouest-France

Source

Merci gia pour cet article Articles du web 451572

Très jolie anecdote merci Gia !!

Je vous en prie. Articles du web 547173

J'ai trouvé cet article par hasard en plus ! ^^

pour l'anecote, Gia; elle était tellement belle que c'était difficile
de ne pas être entourée de garçons! Articles du web Drunken_smilie

Chantal et sa passion pour Bardot au troisième salon des collectionneurs

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La collection Brigitte Bardot de Chantal de Montigny occupe tout un mur du salon : superbe et incontournable !

Marc Sumera, directeur de l'Office du Tourisme accueillait dans les salons de la Baie

Saint Jean samedi tous les exposants de ce troisième week-end dédié aux collectionneurs. On se bousculait à l'entrée pour découvrir au plus vite les stands jonchés de collections multiples et variées. L'offre diversifiée et particulièrement riche de cette session remporte d'emblée tous les compliments y compris ceux des adjoints de l'opposition.

Parmi les exposants, nous avons rencontré Chantal de Montigny sur son stand dédié à Brigitte Bardot. « J'ai acheté il y a plus de trente ans, cette affiche des années 1960, je l'ai fait entoilée et d'habitude elle a sa place dans mon salon, raconte cette fan de BB. Puis je suis tombée sur un lot de Paris Match avec Brigitte Bardot.... depuis je collectionne, mais sans faire de folie. » Chantal possède dans sa collection des pièces très intéressantes. « J'ai le très émouvant premier magazine "Elle" de 1950 avec en couverture la photo de Brigitte qui lui a fait rencontrer Vadim », souligne-t-elle. « Sur la couverture du livre "Liberté chérie" , regardez, elle est méconnaissable !J'ai aussi des journaux étrangers, de Pologne, des Usa....etc. plus difficiles à collectionner ; des affiches serbes aussi. » Dans ce salon , on pouvait aussi découvrir qu'au siècle passé les photographes étaient nombreux : les cartes postales témoignent de leur intérêt pour Wimereux , Boulogne-sur-Mer ou encore Le Touquet, stations balnéraires prisées.

Lien : La Voix du Nord
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Si j'avais l'occasion de tout lui piquer... ^^

Gia pour cet article! Articles du web 599112

Gia a écrit:: Si j'avais l'occasion de tout lui piquer... ^^

Moi aussi he he he (enfin, ce que je n'ai pas encore...) Articles du web Bp8jjx10

zebulon51 a écrit:: Moi aussi he he he (enfin, ce que je n'ai pas encore...)

Il y a des choses que le grand Zebulon n'a pas encore ? Articles du web 807203

C'est fou ! ^^

Gunter Sachs et Brigitte Bardot: l’amour à Saint-Tropez

Simone Duckstein, propriétaire de l’Hôtel de La Ponche, raconte la première nuit du couple mythique.

Échange chambre d’hôtel contre studio à Lausanne. Telle était l’offre que Gunter Sachs, le millionnaire germano-suisse qui s’est donné la mort samedi dernier à Gstaad (BE), avait faite à Simone Duckstein, célèbre propriétaire de l’hôtel quatre étoiles de La Ponche, à Saint-Tropez. Refus tout net. Simone Duckstein, 68 ans, a toute sa vie dans cet hôtel, et bien plus encore. Elle avait à peine 10 ans quand elle a fait la connaissance de Gunter Sachs. «C’était vraiment un très bel homme. Je n’avais pas l’âge pour tomber amoureuse mais en général, j’étais impressionnée par les personnalités que mes parents recevaient dans notre hôtel. Elles vivaient autrement, parlaient autrement, elles nous sortaient de notre petit village de pêcheurs. Cela me fascinait», raconte-t-elle. Simone Duckstein est intarissable sur Gunter Sachs, dont elle évoque la mémoire avec beaucoup de délicatesse.

Dans la chambre n° 1
Dans l’hôtel, la chambre No 18 porte le nom de l’ancien play-boy, héritier d’une grande famille d’industriels allemands. «Gunter aimait beaucoup y venir faire des photos. Elle lui servait de lieu de travail. Il aurait aimé la garder pour lui», continue Simone Duckstein. Chouchou de la jet-set depuis des décennies, l’Hôtel La Ponche cache également un trésor derrière la porte de la chambre No 1, qui porte aujourd’hui le nom de Brigitte Bardot. «C’est ici que Gunter Sachs et BB ont passé leur première nuit, un soir de 1966. Mes parents sont toujours restés discrets là-dessus. J’ai découvert cette histoire plus tard en lisant l’autobiographie allemande de Gunter Sachs», raconte Simone Duckstein. Gunter Sachs, plus play-boy que jamais, avait rencontré Brigitte Bardot dans un restaurant à côté de La Ponche. Ils dînaient chacun de leur côté. Quelques heures plus tard, ils sont revenus frapper à la porte du petit hôtel, des étoiles dans les yeux.

Clé récalcitrante
Simone Duckstein raconte: «Il y a une petite place fermée par un muret en pierre qui donne sur la mer et sur la plage de La Ponche. On le voit dans le film «Et Dieu créa la femme». Ils se sont accoudés là et Brigitte a dit: «C’est l’endroit le plus romantique de Saint-Tropez», avant d’ajouter: «Je n’ai pas envie de rentrer chez moi, il y a trop de monde.» Ils sont alors dirigés vers l’hôtel. Ma mère leur a ouvert la porte. Elle connaissait Brigitte Bardot depuis qu’elle était toute petite, de l’époque où la famille de l’actrice avait une maison pas très loin de l’hôtel. Ma maman leur a demandé: «Que vais-je dire aux journalistes demain matin? Brigitte lui a répondu qu’ils seraient déjà partis.»

Détail insolite de cette première nuit d’amour: le couple a bataillé pendant quinze minutes avec la clé de la chambre. «Dans son livre, Gunter Sachs raconte comment il a regardé BB dormir ce matin-là. C’était quelque chose de très romantique», dit Simone Duckstein, que cette histoire ne cesse d’émouvoir. La suite est connue: Gunter Sachs et Brigitte Bardot se marient en juillet 1966, puis se séparent en 1969, année où le millionnaire épouse le mannequin suédois Mirja Larsson. Le couple achète ensuite une propriété près de Saint-Tropez, mais demeure fidèle à La Ponche.

Pour Simone Duckstein, Gunter Sachs restera toujours un homme distingué, capable d’aimer à la folie un petit hôtel de pêcheurs et de continuer à fréquenter les plus beaux palaces du monde. «Les artistes, de Françoise Sagan à Jack Nicholson, en passant par Romy Schneider, ont toujours bien aimé venir chez nous. Gunter Sachs était un esthète qui aimait la beauté des femmes et la beauté des lieux». En 1966, il a eu l’amour tout court à Saint-Tropez.

Soure : Lematin.ch
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Sur le site, ils ont aussi mis une vidéo de photos de Brigitte & Gunter, sauf que c'est une simple vidéo faite par une fan (que j'ai d'ailleurs en amie sur youtube)... Je trouve ça assez bizarre pour un site de presse. ^^

merci pour ce témoignage Gia ! Articles du web 9710

You're welcome Articles du web Presentem

Gia. J'adore ces petites histoires, belles et pleines de vie! Articles du web 27959

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