LA BRIDE SUR LE COU

merci

Les affiches étrangères sont toujours très belles...

wow superbe merci

Cover-girl en renom, Sophie rêve d'une autre existence que celle toute extérieure qu'elle mène en compagnie de Philippe, un des photographes en vogue, très mondain et remuant. Cependant elle tient à son amant et lorsqu'elle découvre qu'il s'intéresse à Barbara, une richissime Américaine, elle enrage de jalousie au point de songer au crime passionnel, et se venge de l'infidèle en s'affichant avec des garçons de rencontre : Claude et Alain. Un matin, elle dérobe la carabine de Philippe et semble résolue à tirer sur ce dernier et sur Barbara. Alain a bien du mal à la calmer, mais il y arrive en lui proposant de jouer à rendre Philippe jaloux à son tour. Mais comme celui-ci part aves son Américaine aux sports d'hiver, Sophie et Alain doivent y aller aussi.La modicité de leurs ressources mises en commun ne permet à Sophie et à son amant de paille que d'obtenir un lit dans la resserre à matériel du palace où sont descendus leurs amis. Là, Sophie ne songe qu'à faire voler en éclat l'idyle de Philippe. Mais à force de vivre avec elle et de coucher par terre sur un matelas, Alain s'éprend de la cover-girl que Philippe ne songe plus guère à lui disputer. Une soirée dans un night-club ou Alain, voyant danser une des étoiles de l'établissement découvre par transfert la puissance et la nature du lien qui s'est crée à l'égard de Sophie, se termine par une double brouille entre les deux couples. De retour à l'hôtel, Alain décide de brusquer les choses et sous la menace de la fameuse carabine, exige de Sophie une attitude moins indifférente. Dès le lendemain matin, une avalanche persuadera Sophie qu'Alain est l'homme de sa vie et Philippe, que Barbara peut fort bien le consoler.


Fiche technique

Réalisation : Roger Vadim
Scénariste : Jean Aurel
Durée : 91 minutes
Date de sortie : 19 avril 1961



Distribution

¤Brigitte Bardot : Sophie
¤Mireille Darc : Marie-Jeanne
¤Michel Subor : Alain Varnier
¤Jacques Riberolles : Philippe Belmas
¤Claude Brasseur : Claude

Photos du film:

pour ces belles photos

Photos du tournage:

Avec Vadim

bbamiedesanimaux a écrit:

pour ces belles photos

Je t'en prie! :albino:

superbes....!!!!! absolument merveilleuse cette BB !!!! merci GIA

Affiches francaises:






Affiche anglosaxone:

(dvd cover)

marinsol a écrit:

superbes....!!!!! absolument merveilleuse cette BB !!!! merci GIA

Oui et elle est vraiment tres belle dans ce film.
Sa choucroute est incroyable! :)

merci :D

Malheureusement, je ne connais pas le film!
Mais ça ne saurai tarder!!!
Merci pour toutes ces magnifique photos!!!

J'aimerais vraiment voir ce film. J'ai vu tout les films de Bardot -y compris Manina la fille sans voile- sauf Une parisienne et La bride sur le cou. J'ai commandé Une parisienne en dvd mais la bride sur le cou est côté à 22 euros, ce qui fait cher pour un film qui a une réputation d'être mauvais...

J'adore ta photo, Fab! Merci.

J'adore l'affiches étrangères et les deux photos avec le bonnet blanc.

Gawatchi a écrit:

J'aimerais vraiment voir ce film. J'ai vu tout les films de Bardot -y compris Manina la fille sans voile- sauf Une parisienne et La bride sur le cou. J'ai commandé Une parisienne en dvd mais la bride sur le cou est côté à 22 euros, ce qui fait cher pour un film qui a une réputation d'être mauvais...

Toujours pas trouvé moins cher depuis ton message ? Il est à 15 euros sur le site de l'éditeur (René Chateau Video). L'édition US/Canada (ci-dessus) est parfois "sacrifiée" à petit prix sur certaines enseignes alors que d'autres la vendent très chère (va y comprendre quelque chose). Elle est vendue comme édition avec code régional zone 1, alors qu'il s'agit d'une édition multi-zones, donc lisible sur un lecteur européen, comme les autres films de BB distribués sous le label "Anchor Bay Entertainment". Pour le reste, je confirme : c'est encore un film qu'on ne regarde que pour la présence de BB. Sinon, on s'ennuie ferme.

J'ai trouvé un euro moins cher. Je ne me suis toujours pas décidée à l'acheter vu les critiques que vous m'en faites !
Mais merci Phénix pour ta délicate intention.
Je suppose, ou j'ose espérer qu'il est quand même "moins pire"que Don Juan 73.
Pfff ce Roger Vadim, mis à part Et Dieu... quelle cata !

J'ai ce film, Gawatchi, et je te jure qu'il est bien mieux que "Don Juan" ( à mon avis, le pire film de BB). C'est un film presque naïf, mais il y en a même les numéros de cirque et j'avoue que j'ai ri de quelques scènes. Si tu le regardes sans espérer trop, peut-être
ça ne sera si mauvais. Et il y a l'esthétique! C'est beau, c'est agréable d'en voir. Mais...n'attends pas une oeuvre d'art!

Gawatchi a écrit:

J'ai trouvé un euro moins cher. Je ne me suis toujours pas décidée à l'acheter vu les critiques que vous m'en faites !
Mais merci Phénix pour ta délicate intention.

Je suppose, ou j'ose espérer qu'il est quand même "moins pire"que Don Juan 73.

ce Roger Vadim, mis à part Et Dieu... quelle cata !

La profession (et tu en sais quelque chose) n'a jamais considéré Vadim comme un grand réalisateur. "Et Dieu créa la femme" était un film audacieux en son temps par son propos, mais sa réalisation reste très conventionnelle et les clichés les plus éculés déjà à l'époque ne nous sont pas épargnés (j'en ai parlé ailleurs en citant l'exemple de BB mordillant sa carotte).

"Don Juan 73" est un film prétentieux, qui veut délivrer un message, ce que n'est pas "La Bride sur le cou" qui doit être pris comme un film de divertissement. De "Don Juan 73", je ne retiens que la séquence finale, comme pour "Vie privée", pour son aspect symbolique. Vadim, qui signait ses Mémoires au nom du Diable, brûle ce qu'il a adoré (quoi de plus naturel quand on y réfléchit ?), mais dans les flammes c'est aussi une époque qui disparaît, dont BB aura été le symbole vivant.

Quand tu penses qu'Et Dieu créa la femme était considéré comme un excellent film par Godard et Truffaut !
Mais bon, du Vadim moyen, Le repos du guerrier par exemple, c'est très mauvais, c'est du non-cinéma (quoi que le début n'est pas si mal) mais ça se regarde encore. Mais Don Juan est d'une laideur affligeante : tout le plus mauvais des années 70 (décors, costumes) y est réuni. Et qu'on ne me dise pas que c'est du à l'époque car Dernier tango à Paris est l'un de mes films préférés.
Par contre, je serais très intéressée par lire les bouquins de Vadim -pas pour leur style d'écriture, cela dit.
Sean French disait qu'il était triste de voir cet homme qui a côtoyé les plus grands de son époque -Miles Davis etc- pour produire une oeuvre aussi navrante.